QUALITÉ ET TRAITEMENT DE L'AIR INTÉRIEUR
EN MILIEU MEDICAL
Choisir l’expertise et l’exigence françaises
LA QUALITÉ DE L'AIR INTÉRIEUR,
UN ENJEU DE SANTÉ PUBLIQUE
D’après l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 3,2 millions de personnes meurent prématurément de maladies imputables à la pollution de l’air intérieur, chaque année dans le monde. La responsabilité des particules fines est désormais établie dans bon nombre de pathologies : BPCO, cancers du poumon mais aussi du sein, de la vessie, sarcomes, lymphomes non Hodgkinien, AVC, maladies cardiovasculaires, diabète de type 2, affections neurologiques.
Prévenir et lutter contre les infections nosocomiales aéroportées
Au niveau mondial, dans les hôpitaux de traitement aigu, sur 100 patients, 7 patients dans les pays à revenu élevé et 15 dans les pays à revenu faible ou intermédiaire contractent au moins une infection nosocomiale pendant leur hospitalisation, selon l’OMS. En moyenne, un patient touché sur 10 succombe à cette infection. Outre des décès, les infections nosocomiales impliquent des soins supplémentaires pour les patients et des surcoûts pour les systèmes de santé.
3 200 000
3,2 millions de personnes meurent
prématurément de maladies imputables à la pollution de l’air intérieur,
chaque année dans le monde
10%
des patients infectés par une maladie neusocomiale succombera de cette affection
15 %
des patients dans les pays à revenu faible ou intermédiaire contractent au moins une infection nosocomiale pendant leur hospitalisation
4 900 000
de décès supplémentaires ont été associés à la pandémie de Covid-19 en 2020 et 2021
L’air et les microgouttelettes en suspension sont des vecteurs de transmission et les infections aéroportées représentent un risque important pour les patients, le personnel et les visiteurs. Aux nombreuses maladies véhiculées par l’air (infections bactériennes, virales et fongiques des voies aériennes, tuberculose, pneumopathies, rougeole...), s’est joint depuis 2020 la Covid-19. D’après l’OMS, 14,9 millions de décès supplémentaires ont été associés à la pandémie de Covid-19 en 2020 et 2021.
Dans un environnement confiné, mal ventilé ou mal aéré, la présence de plusieurs personnes malades augmente la concentration en particules infectieuses dans l’air.
La qualité de l’air intérieur s’avère donc un paramètre central dans la prévention et la lutte contre les infections nosocomiales aéroportées et les épidémies.
LES ACTEURS DE L'EXCELLENCE FRANÇAISE
Les grandes familles de dispositifs de traitement de l’air
Centrales de traitement de l'air
Ces systèmes centralisés conçus pour nettoyer, filtrer, chauffer, refroidir et distribuer de l'air frais dans un espace donné, sont essentiels dans divers environnements où la qualité de l'air est critique : les hôpitaux, les installations pharmaceutiques et les laboratoires notamment.
Les experts Français
Ata Medical
Sodistra
Création de chambres de soins critiques
Ces dispositifs innovants simplifient la création de chambres de soins critiques pour patients immunodéprimés ou infectieux. Sans compromis sur le confort et la protection des patients et des soignants face au risque infectieux aéroporté, ils réduisent l’empreinte environnementale et offrent une flexibilité nouvelle à l’hôpital au quotidien comme en situation sanitaire exceptionnelle.
Les experts Français
Services critiques : bloc opératoire modulaire, pharmacie, laboratoires
Destinés à l’office based surgery et à des usages de préparation de pharmacie hospitalière (BPP) ou de mise en conformité de laboratoire, ces environnements sont constitués d’une enveloppe ultra-propre avec ou sans sas, de passe-plats et d’isotechnies ergonomiques ainsi que d’un système de traitement d’air indépendant leur permettant d’atteindre les conditions aérauliques adaptées à l’usage des praticiens.
Les experts Français
Armoires de traitement de l'air
Ces dispositifs compacts sont utilisés pour contrôler la qualité de l’air dans des espaces restreints tels que les salles propres ou les laboratoires, en filtrant les contaminants et en régulant la température et l’humidité.
Les experts Français
Ata Medical
Unitair
Les plafonds filtrants
Ces structures installées au plafond des espaces sensibles tels que les salles d’opération ou les salles blanches sont équipées de filtres pour purifier l’air en éliminant les particules et les contaminants, assurant ainsi un environnement propre et stérile.
Les experts Français
Ata Medical
Erlab noroit
Unitair
Unités mobiles
Ces dispositifs autonomes et transportables peuvent compléter ou se substituer à un système centralisé de traitement d’air dans les services accueillant des patients à risque (hématologie, réanimation, bloc opératoire, urgences…), les pharmacies et les laboratoires hospitaliers.
Ils sont aussi utilisés dans des situations exceptionnelles, telles que des catastrophes naturelles ou des crises sanitaires pour fournir un air propre dans des abris temporaires ou des centres médicaux provisoires, ainsi que dans des installations médicales mobiles.
Les experts Français
Services associés
Les entreprises peuvent également proposer diverses solutions complémentaires :
• contrôle, monitoring de la qualité de l’air,
• diagnostic de performances et conformité des environnements maîtrisés (blocs, chambres REB, laboratoires de confinement P3, zones de préparation pharmaceutique),
• qualification périodique réglementaire des environnements maîtrisés,
• entretien et maintenance des équipements.
Les experts Français
AirinSpace
ABN
Unitair
Dans les établissements de santé, les risques liés à l’air peuvent être biologiques (germes pathogènes dans l'air), chimiques (liés aux produits de nettoyage et de désinfection) ou particulaires (poussières et allergènes).
La France est l’un des rares pays à avoir formalisé des critères de qualité de l’air par type d’activité médicale. La norme NF S 90-351 guide la conception, la réalisation, l’exploitation et la maintenance des installations de traitement d’air des salles propres et des environnements apparentés. Elle préconise des performances à atteindre dans les différentes salles classées de la zone à risque 1 (risque infectieux nul) à la zone à risque 4 (très haut risque infectieux). L’adaptation des mesures de traitement de l'air assure un niveau élevé de protection des personnes.
